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Arbitrages du Premier Ministre sur la Compétitivité : le choix d’un choc de confiance pour l’emploi et la croissance

Thématique : Budget/fiscalité/finances
Travail/emploi

Date : 6 novembre 2012

Type de contenu : Communiqué de presse

Les décisions du Premier Ministre, qui font suite au rapport Gallois et au séminaire gouvernemental, constituent un véritable pacte de compétitivité qui va permettre à la France d’enrayer le déclin de son économie et de retrouver le chemin de la croissance et de l’emploi.

Le rapport de Louis Gallois a dressé un bilan accablant pour l’inaction des gouvernements de droite qui se sont succédés au cours des 10 dernières années et dont les principaux acteurs et « complices » se font aujourd’hui, sans vergogne, les chantres, exigeants de l’application exhaustive des propositions de ce rapport.

Avec 35 mesures concrètes et en agissant sur 8 leviers de la compétitivité,  le gouvernement relève aujourd’hui ce défi majeur: inverser la spirale infernale dans laquelle est enfermé notre pays et retrouver le chemin de la performance économique au service de la croissance et de  l’emploi.   

L’allègement du coût du travail de 20 milliards par an par le biais d’un crédit d’impôts, l’accès à des financements accessibles et performants pour les TPE et les PME, la garantie d’un cadre réglementaire et fiscal simplifié et stable, l’aide à l’innovation et à l’export, vont permettre aux entreprises de retrouver des marges de manœuvre pour se développer et se battre face à la concurrence mondiale.

Au final c’est l’emploi qui sera le grand bénéficiaire de ces mesures. 

Le financement de ce Pacte de compétitivité sera équitablement réparti entre des économies de la puissance publique engendrées par des réformes structurelles, et une évolution de la TVA,  qui épargnera les produits de première nécessité et qui sera accompagnée de la mise en œuvre d’une fiscalité écologique. 

La gravité de la situation résultant de 10 ans d’immobilisme, imposait des mesures ambitieuses et courageuses. Les sénateurs socialistes n’ont jamais douté que le Président de la République et son gouvernement  sauraient répondre  à cette obligation. C’est aujourd’hui chose faite. 

 

 

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