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Didier Guillaume interroge le ministre de l'agriculture, sur les conditions nécessaires à réunir pour définir le nouveau visage de la ruralité française, facteur de cohésion et d'avenir pour les territoires.
Lire l'ensemble des interventions des sénateurs socialistes.
Accèder au dossierVous pouvez consulter les interventions des sénateurs socialistes sur le débat de politique étrangère du 18 janvier 2011
Accèder au dossierLe 16 février dernier, Bariza Khiari interrogait Mme la ministre d'État, ministre des affaires étrangères et européennes, sur le bilan et l'avenir de l'Union pour la Méditerranée.
Lire la question et les interventions des sénateurs socialistes.
Accèder au dossierLe 8 février dernier, à l'occasion de la séance de questions cribles (questions thématiques au gouvernements), Françoise Cartron et Yannick Bodin, sénateurs socialistes, ont interrogé Luc Chatel, sur l'aggravation des inégalités sociales dans le système scolaire. C'est à l'initiative des sénateurs socialistes que ce thème capital a été mis à l'ordre du jour.
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Dans le cadre du débat d'orientation sur les conclusions de la mission commune d'information sur la prise en charge de la dépendance, Yves Daudigny, sénateur de l'Aisne, présente la position du groupe de travail des sénateurs socialistes sur sur le sujet.
Accèder au dossierProposition de loi du groupe présentée par le RDSE
Accèder au dossierProposition de loi modifiant certaines dispositions de la loi du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires
Accèder au dossierJean-Louis Carrère, Jean-Pierre Bel et Didier Boulaud ont interrogé Gérard Longuet sur l'intervention militaire en Afghanistan à l'occasion de la séance de questions cribles thématiques de ce jeudi 3 mars.
Voir les vidéos des interventions
Accèder au dossierLe 12 avril, les sénateurs socialistes, Roland Courteau, Didier Guillaume et Daniel Raoul, ont interrogé Frédéric Lefebvre sur les problèmes énergétiques dans la cadre de la séance de questions cribles thématiques.
Accèder au dossierLes interventions et la contribution des sénateurs socialistes
Accèder au dossierLes sénateurs socialistes Jean-Louis Carrère et Monique Cerisier -ben Guiga, ont interrogé le gouvernement lors de la séance de questions cribles thématiques.
Accèder au dossierLes interventions des sénateurs socialiste à l'occasion de la question orale avec débat sur la réforme de la formation des enseignants.
Accèder au dossierC'est à la demande des sénateurs socialistes que le Sénat a débattu en séance publique de la politique forestière et du développement de la filière du bois.
Accèder au dossierBeaucoup d’annonces, beaucoup de rapports faisant suite à ces annonces mais peu de traduction législative. Les grands chantiers annoncés en matière de justice sont soit « en panne », soit carrément abandonnés ou très partiellement mis en œuvre. Retrouvez dans le détail, le bilan des réformes de la justice depuis 2007.
Accèder au dossierLe 31 mai dernier, les sénatrices socialistes et rattachées, Claudine Lepage, Catherine Tasca et Marie-Christine Blandin, ont interrogé Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication, sur la Politique audiovisuelle extérieure. Voir les interventions.
Accèder au dossierConsultez le dossier spécial sur le bilan des sénateurs socialistes.
Accèder au dossierLors de la séance de questions cribles thématiques, les sénateurs Yves Daudigny et Ronan Kerdraon, ont interrogé Frédéric Lefebvre, sur l'évolution et les perspectives du secteur des services à la personne.
Accèder au dossierLors de la séance de questions cribles thématiques, les sénateurs David Assouline et Marie-Christine Blandin ont interrogé la ministre Valérie Pécresse, sur le suivi de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités et de la politique universitaire française.
Accèder au dossierMme Patricia Schillinger .
Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, selon l’OMS, 1 milliard d’adultes sont en surpoids et, si rien n’est fait, ils seront plus de 1,5 milliard d’ici à 2015. Chaque année, 2,6 millions de personnes au moins meurent des < conséquences du surpoids ou de l’obésité>
.
En France, l’obésité augmente de 5,9 % par an et concerne 16,9 % des adultes.
Autre constat terrible, l’obésité des enfants est en train d’exploser : 3,5 % des enfants sont obèses.
Aujourd’hui, nous avons un taux de croissance du surpoids comparable à celui que connaissent les Américains. Il faut souligner que deux tiers des enfants obèses le resteront à l’âge adulte. Ils risqueront donc d’avoir des problèmes cardiovasculaires multipliés par trois, des troubles articulaires, mais souffriront également d’une certaine stigmatisation qui engendrera pour eux des problèmes sociaux.
Nous sommes donc face à une progression inquiétante car elle porte sur des individus de plus en plus jeunes.
On peut dire qu’actuellement l’obésité est une véritable épidémie qui frappe aussi bien les pays industrialisés que les pays en voie de développement.
Ses causes peuvent être très variables d’une personne à l’autre. On parle même d’« obésités » au pluriel.
Selon les études, plusieurs facteurs permettent d’expliquer ’obésité : les facteurs génétiques, les facteurs endocrinologiques, les facteurs environnementaux et les modifications comportementales telles que la « malbouffe », qui désigne une alimentation trop riche.
Dans les années quatre-vingt, le terme « malbouffe » désignait la nourriture des fast-foods. Aujourd’hui, il désigne davantage l’alimentation industrielle trop grasse, trop sucrée et trop salée.
Cette malbouffe s’est imposée dans nos sociétés modernes pour différentes raisons.
D’abord, les prix des fruits et légumes frais sont en augmentation alors que ceux des produits gras et sucrés restent très abordables.
Ensuite, le rythme de vie et le manque de temps font que certains sont amenés à sauter un repas ou à manger rapidement.
En outre, les étiquettes nutritionnelles des produits ne sont pas assez claires.
Enfin, la publicité fait la promotion de produits trop gras et trop sucrés.
Pour prévenir cette obésité, nous disposons de différents outils comme le dépistage avec le calcul de l’indice de masse corporelle, l’IMC, la politique nutritionnelle « Manger mieux, bouger plus » ou les actions en milieu scolaire.
Cependant, l’obésité demeure une maladie que l’on ne sait ni guérir ni prévenir efficacement.
En effet, on s’aperçoit que les comportements ont changé ces dernières années. Auparavant, on pouvait rester mince tout en absorbant des calories en abondance. Cela était possible car les activités quotidiennes étaient beaucoup plus physiques. Aujourd’hui, les populations occidentales ont tendance à consommer moins de calories et moins de graisses qu’en 1960 et, pourtant, elles grossissent. Cela s’explique par un changement du style de vie, qui devient de plus en plus sédentaire. L’homme moderne est donc devenu sédentaire. C’est la raison pour laquelle l’un des principaux objectifs des scientifiques est de découvrir comment rassasier un individu avec moins de calories.
Comment un régime alimentaire peut-il devenir plus rassasiant ? Les principales pistes qui sont explorées actuellement portent soit sur des aliments à forte teneur en glucides, soit sur la consommation de protéines en plus ou moins grande quantité.
En outre, de nombreux travaux sur l’obésité des enfants établissent aujourd'hui le lien entre surcharge pondérale et allongement du temps d’inactivité, en particulier devant la télévision.
Par ailleurs, je tiens à souligner ici que la catégorie socioprofessionnelle, le niveau de revenu et le lieu d’habitation sont des déterminants importants de l’obésité. Riches et pauvres ne sont pas égaux face à l’obésité. Le risque pour un enfant d’ouvrier d’être en surpoids ou obèse reste plus important que pour un enfant de cadre.
Même s’il existe actuellement des outils pour prévenir l’obésité avant l’apparition des symptômes, on reste face à un échec. En effet, les gestes de prévention, qui sont axés sur l’équilibre alimentaire et l’activité physique, ne paraissent pas d’une efficacité suffisante face à la constante augmentation de l’obésité.
La mise en œuvre de la charte de l’industrie alimentaire et des médias télévisés sur la nutrition, qui a été signée au mois de février 2009, a été un échec.
En effet, le harcèlement publicitaire continue. La charte n’a pas permis de limiter le matraquage publicitaire pour les produits gras, sucrés ou salés. Certaines entreprises font subir un véritable harcèlement alimentaire aux enfants, qui regardent la télévision en rentrant de l’école, souvent sans contrôle parental.
Les communications nutritionnelles demeurent sans grande légitimité scientifique. Le contenu éditorial de la diffusion des programmes éducatifs reste sous la seule responsabilité de l’industrie alimentaire et des médias.
Idem pour les programmes éducatifs invisibles : le volume de diffusion des programmes développés par les professionnels de la nutrition est ridiculement faible au regard du déferlement publicitaire quotidien.
Face à un tel échec, pourquoi n’impose-t-on pas la gratuité de la diffusion des campagnes de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé, l’INPES, sur l’équilibre alimentaire ? Pourquoi n’impose-t-on pas des tarifs plus accessibles pour les campagnes des filières fruits et légumes ?
Par ailleurs, il apparaît incroyable que le Mediator, classé comme médicament pour diabétiques en surpoids, ait pu également servir de coupe-faim, alors que tous les anorexigènes avaient été interdits. En effet, le 31 août 1999, le comité des spécialités pharmaceutiques de l’Agence européenne pour l’évaluation des médicaments en a recommandé le retrait définitif du marché. Pourquoi le Mediator est-il resté autorisé ? Pourquoi le laboratoire a-t-il semé l’ambiguïté ?
En matière de recherche, il est, me semble-t-il, essentiel d’enrichir les connaissances sur les facteurs précis favorisant l’obésité, afin de concevoir des politiques de santé publique.
La science est-elle aujourd’hui en mesure de nous apporter toutes les causes de l’obésité ? Le Gouvernement a-t-il entrepris un nombre suffisant d’actions de prévention ? A-t-il suffisamment informé le public ?
Par ailleurs, il est pertinent d’explorer des approches visant l’amélioration de la santé mais dont l’objectif premier n’est pas la perte de poids. Est-il possible d’obtenir des succès dans le traitement de l’obésité en dehors des remèdes qui se focalisent sur le régime alimentaire ? Obtiendrions-nous plus de réussite en diversifiant nos cibles d’intervention ?
Je pense également, ici, à la nutrition précoce. La nutrition pendant la gestation et la petite enfance influencerait la santé et le développement ultérieurs de l’enfant. A-t-on mis en œuvre les mesures nécessaires suite à un tel constat ?
De plus, des travaux récents ont montré un lien entre la qualité du microbiote intestinal et le développement de l’obésité. Une série d’expériences a montré que des souris anéxiques, c'est-à-dire sans microbiote intestinal, résistent à l’obésité lorsqu’elles sont soumises à un régime gras. En revanche, si des souris saines reçoivent des bactéries intestinales de souris obèses, elles deviennent elles-mêmes obèses. Où en est-on dans ces recherches ?
Il est primordial d’avancer au niveau de la recherche afin de pouvoir prendre des mesures de santé publique.
Aujourd’hui, on peut dire qu’on ne sait pas guérir l’obésité, car c’est une maladie complexe. En l’état actuel de nos connaissances, la prévention est cruciale. Il importe de ne pas devenir obèse ; sinon, c’est pour la vie ! J’insisterai donc sur l’importance de la prévention, et je regrette que le Gouvernement ne mette pas tout en œuvre à cet égard.
Je souhaiterais attirer ici votre attention sur la question de l’équilibre nutritionnel des repas fournis dans les cantines scolaires. L’équilibre alimentaire dans la restauration scolaire constitue < un axe important dans la lutte contre l’obésité, car nombreux sont les enfants qui prennent jusqu’à cinq repas par semaine à l’école. C’est d’ailleurs l’un des objets de la loi du 27 juillet 2010 de modernisation de l’agriculture et de la pêche, dont l’article 1er
impose des règles relatives à la qualité nutritionnelle des repas servis dans les écoles.
Or, le 6 janvier 2011, la Commission consultative d’évaluation des normes, la CCEN, a donné un avis défavorable à cette mesure. Cette décision est d’autant plus regrettable que nombre d’études ont démontré depuis dix ans l’insuffisance du volontariat en matière de restauration scolaire, seules des normes d’application obligatoire étant efficaces pour améliorer l’équilibre nutritionnel des plats. L’avis de la CCEN contredit le vote des parlementaires et les recommandations élaborées en matière de restauration scolaire par la Direction générale de la santé ou le rapport de la mission d’information sur la prévention de l’obésité.
Madame la ministre, pouvez-nous dire pourquoi cette disposition se trouve aujourd'hui bloquée ? Pouvez-vous nous indiquer à quelle date le Gouvernement compte rétablir cette mesure cruciale sur le plan sanitaire ?
L’obésitéest un véritable défi sociétal, mais également économique, puisqu’elle menace à terme notre système de santé. Les attentes sont donc fortes vis-à-vis de la recherche afin d’orienter les politiques de santé publique. Elles sont également fortes vis-à-vis du Gouvernement, afin qu’il prenne aujourd’hui des mesures fortes en matière de prévention. En effet, nous sommes en retard, et il y a urgence.
Accèder au dossierLes sénateurs socialistes tout en saluant les travaux réalisés par la mission, n'ont pas voté le rapport proposé. Serge Lagauche et Françoise Cartron, membres de la mission, nous expliquent, en images, la position des sénateurs socialistes.
Accèder au dossierA l'occasion de la séance de questions cribles thématiques sur la rentrée scolaire, les sénateurs socialistes Yannick Bodin, Françoise Cartron et Claude Bérit-Debat, ont interrogé le ministre de l'Education Nationale sur les conditions de la prochaines rentrée scolaires.
Accèder au dossierLe 30 septembre 2011, le Sénat a siégé en séance extraordinaire pour célébrer le 30e anniversaire du vote définitif par le Sénat du projet de loi portant abolition de la peine de mort. Voir les interventions de Robert Badinter et de Pierre Mauroy.
Accèder au dossierLes sénateurs socialistes ont interrogé les ministres Bruno Lemaire et Philippe Richert lors de la séance de questions cribles thématiques sur le malaise des territoires le 18 octobre 2011.
Accèder au dossierLes sénateurs Martial Bourquin et Josette Durrieu, ont interrogé Eric Besson, ministre de l'industrie dans le cadre de la séance de questions cribles thématiques.
Accèder au dossierLes sénateurs socialistes ont interrogé Frédéric Lefebvre, secrétaire d'État, chargé du commerce sur la compétitivité de la France.
Accèder au dossierLors de la séance du 17 janvier 2012, les sénateurs socialistes Frédérique Espagnac et Vincent Eblé, ont interrogé Philippe Richert, ministre des collectivités territoriales sur la fiscalité des collectivités territoriales.
Accèder au dossierLe 17 janvier dernier, les sénateurs ont débattu en séance publique de l'état des négociations internationales sur le climat.
Accèder au dossierA l'occasion de la séance des questions "crible" thématiques du 18 octobre, les sénateurs socialistes ont choisi d'aborder le problème de l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes.
Accèder au dossierA la demande des sénateurs socialistes, Nicole Bonnefoy a interrogé le gouvernement sur la lutte contre la prolifération du frelon asiatique dans le cadre d'une question orale avec débat.
Accèder au dossierA la demande des sénateurs socialistes, dans le cadre d'une question orale avec débat, Nicole Bricq a interrogé le Gouvernement sur le devenir des permis exclusifs de recherche d'hydrocarbures conventionnels et non conventionnels.
Accèder au dossierLa majorité sénatoriale met en place le premier débat en séance publique sur l’application des lois, un enjeu démocratique majeur.
Accèder au dossierA l’occasion du débat tenu le 9 février sur la situation de l’industrie automobile en France, les sénateurs socialistes ont pointé les multiples renoncements du gouvernement vis-à-vis des industriels et de leurs engagements.
Accèder au dossierLes sénateurs ont débattu, mardi 7 février, de la politique étrangère de la France, à la demande de la commission des affaires étrangères.
Accèder au dossierA la demande de la commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois, les sénateurs ont eu un débat en séance publique sur le crédit à la consommation et le surendettement.
Accèder au dossierUn débat a eu lieu en séance publique sur les inondations dans le sud-est de la France en novembre 2011.
Accèder au dossierLors de la séance du 29 novembre, les sénateurs ont choisi d'aborder le thème de la réforme de la politique agricole commune avec Stéphane Le Foll, ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt.
Accèder au dossierLe 4 décembre, s'est tenu à la demande du groupe socialiste un débat sur l’emploi, la formation et la qualification des jeunes.
Accèder au dossierLe 6 décembre dernier, s'est tenu à la demande du groupe socialiste, un débat sur la réforme de la politique de la ville avec François Lamy, ministre chargé de la ville.
Accèder au dossierLe 13 décembre, les sénateurs socialistes ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet de l’hébergement d'urgence pour une séance de questions "crible" à Cécile Duflot, ministre du logement et de l'égalité des territoires.
Accèder au dossierQuelques jours après le début de l'intervention des forces armées françaises au Mali, le gouvernement est intervenu dans l'hémicycle du Sénat, mercredi 16 janvier. La déclaration a été suivie d'un débat sur l'engagement des forces armées françaises en réponse à la demande d'intervention militaire formulée par le Président du Mali.
Accèder au dossierLe 17 janvier, les sénateurs socialistes ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet des énergies renouvelables pour une séance de questions "crible" à Delphine Batho, ministre de l’énergie.
Accèder au dossierLe 5 février dernier s'est tenu le débat, sous forme de questions-réponses, préalable à la réunion du Conseil européen des 7 et 8 février 2013.
Accèder au dossierLe 14 févier, les sénateurs socialistes ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet de la gynécologie médicale pour une séance de questions "crible" à Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé.
Accèder au dossierLe 28 févier, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet de la compétitivité pour une séance de questions "crible" à Fleur Pellerin, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif, chargée des petites et moyennes entreprises, de l'innovation et de l'économie numérique.
Accèder au dossierLe 21 mars les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet de l'Europe de la Défense pour une séance de questions "crible" à Jean-Yves Le Drian, ministre de la défense.
Accèder au dossierLe 4 avril, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet de l'industrie pharmaceutique pour une séance de questions "crible" à Marisol Touraine , ministre de la santé.
Accèder au dossierLe 18 avril, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la situation dans les hôpitaux pour une séance de questions "cribles" à Marisol Touraine, ministre de la santé.
Accèder au dossierA la demande du gouvernement et conformément à l’article 35 de la Constitution, un débat et un vote ont eu lieu au Sénat sur la prolongation de l’intervention des forces armées au Mali.
Accèder au dossierA la demande du groupe socialiste et de la commission des affaires sociales, les sénateurs ont débattu en séance publique, avec Marisol Touraine, ministre de la santé, de la politique vaccinale de la France.
Accèder au dossierLe Sénat a adopté une Proposition de Résolution Européenne tendant à créer un droit européen pour le consommateur et à la maîtrise et à la parfaite connaissance de son alimentation.
Accèder au dossierCe débat en séance publique s'est tenu le 12 juillet, à l'initiative du groupe socialiste et de l'Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).
Accèder au dossierLe 11 juin, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour l'avenir des retraites pour une séance de questions "crible" à Marisol Touraine, ministre de la santé.
Accèder au dossierLire les interventions des sénateurs socialistes après l'intervention du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault sur les conclusions du Conseil européen des 28 et 29 juin.
Accèder au dossierLe 2 juillet dernier, après la présentation par Stéphane Le Foll, ministre de l'agriculture, de l'accord conclu entre le Parlement européen, le Conseil des ministres de l'agriculture et la Commission européenne, s'est tenu un débat interactif et spontané.
Accèder au dossierLe 27 juin, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la situation des caisses d’allocations familiales pour une séance de questions "crible" à Dominique Bertinotti, ministre chargée de la famille.
Accèder au dossierLes sénateurs ont débattu, mercredi 4 septembre, de la situation en Syrie, après une déclaration du gouvernement en présence de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères
Accèder au dossierLe 10 octobre, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la situation des universités françaises à la rentrée 2013 pour une séance de questions "crible" à Geneviève Fioraso, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Accèder au dossierLe 7 novembre, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la question de la montagne ( aménagement du territoire, problématiques foncières, développement économique ) pour une séance de questions "crible" à Cécile Duflot, ministre de l'égalité des territoires et du logement.
Accèder au dossierLe 21 novembre, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la question de la sécurité et des chiffres de la délinquance pour une séance de questions "crible" à Manuel Valls, ministre de l'intérieur.
Accèder au dossierLes sénateurs ont débattu, mardi 10 décembre, de la situation en République Centrafricaine, après une déclaration du gouvernement en présence de Jean-Yves Le Drian, ministre de la défense.
Accèder au dossierLes sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la question des accords de libre échange pour une séance de questions "crible".
Accèder au dossierLes sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la question du logement étudiant pour une séance de questions "crible".
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Les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la question du financement pour les transports collectifs en France pour une séance de questions "crible" avec Alain Vidalies, secrétaire d'État chargé des transports.
Accèder au dossierLes sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la question de l'industrie du tourisme pour une séance de questions "crible" avec Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères et du développement international..
Accèder au dossierLes sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour la question de le réforme des rythmes scolaires
Accèder au dossierLe 5 février dernier, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet de la situation de l'emploi pour une série de questions "crible" à François Rebsamen, ministre de l'emploi.
Accèder au dossierLe 24 mars les sénateurs ont choisi de débattre de ce sujet d'actualité
Accèder au dossierLe 2 avril dernier, les sénateurs ont débattu de la préparation de la révision de la loi de programmation militaire.
Accèder au dossierLe 28 mai dernier, les sénateurs ont choisi de mettre à l'ordre du jour le sujet de la réforme du collège pour une série de questions "crible" à Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation.
Accèder au dossierMardi 15 septembre, suite à la déclaration du Gouvernement, le Sénat a débattu de l'engagement des forces aériennes au-dessus du territoire syrien.
Accèder au dossierMercredi 16 septembre, suite à la déclaration du Gouvernement, le Sénat a débattu de l'accueil des réfugiés en France et en Europe.
Accèder au dossierA la demande des sénateurs socialistes, et du gouvernement, le 16 novembre dernier, s'est tenu, au Sénat, un débat sur la création d'un traitement de données à caractère personnel relatif aux passeports et aux cartes nationales d'identité.
Accèder au dossierPlus de 3 ans après la présentation d'un premier projet de réforme par la Commission européenne, les négociations autour de la future PAC 2023-2028 entrent désormais dans une phase décisive.
Accèder au dossierMalgré certaines avancées apportées par le Sénat, les sénatrices et sénateurs socialistes ont refusé d’accorder un blanc-seing au Gouvernement.
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