Nous nous sommes abstenus sur ce texte dont les objectifs qui nous paraissent importants : la nécessité de mieux encadrer les niches fiscales, de mieux les évaluer et de renforcer l’évaluation des dépenses fiscales sans pour autant nier leur utilité mais nous nous interrogeons sur la mise en perspective de la trajectoire des recettes permettant de ne pas limiter notre débat à la seule et unique question de la dette.
Car comment parler de dépenses et de dette publique sans parler d’investissements publics, de service public, de transition écologique, d’investissements d’avenir ?